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Ephéméride éclectique d'une librocubiculariste glossophile et mélomane.

Au bord du chemin, la chapelle de la fontaine blanche

C'est d'abord la fontaine que l'on aperçoit, puis en s'approchant on découvre la chapelle dissimulée par de grands arbres et à gauche le prieuré.

La notice implantée dans un angle du placître nous donne quelques explications :

Le mot gwenn, blanc, a en ancien breton le sens de « sacré », ce qui renforce l'idée d'un culte antique en ce lieu. Dédiée à la Vierge, cette fontaine, sur laquelle veille une Vierge à l'Enfant en kersantite, fait partie des quatre fontaines guérisseuses de Plougastel-Daoulas. Les enfants fiévreux étaient plongés nus dans les eaux de ce bassin. L'implantation d'un édifice de culte chrétien en ce lieu remplace le culte d'une divinité gauloise de la fécondité. La chapelle est dédiée à Notre-Dame, invoquée pour apprendre à marcher aux enfants. Un grand pardon, le 15 août, et un petit pardon, le lundi de Pâques, sont célébrés chaque année.

Au bord du chemin, la chapelle de la fontaine blanche
Au bord du chemin, la chapelle de la fontaine blanche
Au bord du chemin, la chapelle de la fontaine blanche
Au bord du chemin, la chapelle de la fontaine blanche
Au bord du chemin, la chapelle de la fontaine blanche
Au bord du chemin, la chapelle de la fontaine blanche
Au bord du chemin, la chapelle de la fontaine blanche
Au bord du chemin, la chapelle de la fontaine blanche
Au bord du chemin, la chapelle de la fontaine blanche
Au bord du chemin, la chapelle de la fontaine blanche
Au bord du chemin, la chapelle de la fontaine blanche
Au bord du chemin, la chapelle de la fontaine blanche

Pour compléter la visite et découvrir les richesses qu'offre l'intérieur, ne pas hésiter à lire l'article érudit publié par "lavieb-aile.com"

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