Ephéméride éclectique d'une librocubiculariste glossophile et mélomane.
22 Novembre 2013
Premier long-métrage de Guillaume Gallienne en tant que réalisateur, et aussi adaptation de sa propre pièce de théâtre à succès, "Les garçons et Guillaume, à table !" puise son titre dans une expression que sa mère utilisait lorsqu’il était enfant. Une expression qui fait sourire, mais qui en dit long sur la place à part qui était attribuée à ce garçon maniéré, qui assuma pendant de longues années une étiquette qu’on décida de lui coller. Pourtant, c’est un regard tendre et gorgé d’amour que Gallienne pose sur sa mère, qu’il interprète lui-même avec un talent de transformisme inouï. C’est aussi une jolie déclaration qu’il fait aux femmes, qui l’ont de tout temps fasciné, telles des icones d’un idéal qu’il voulut atteindre pendant des années.
C'est ainsi que débute le papier de S. Grandgirard du site Abus de ciné.
C'est avec une ironie douce-amère alternant fous-rires et moments d'émotion que Guillaume nous livre ce récit autobiographique. Alors, à table !
Plutôt que la bande annonce vue et revue, une interview vidéo, exercice auquel s'est livré Guillaume avec beaucoup de simplicité.
L'exercice de promotion d'un film est difficile, mais parfois il y a de belles surprises, ainsi celle permettant de découvrir l'amitié liant Gallienne et Capuçon.
Ephéméride éclectique d'une librocubiculariste glossophile et mélomane