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Ephéméride éclectique d'une librocubiculariste glossophile et mélomane.

‘A Bird, Came Down the Walk’ by Emily Dickinson

Un petit collage peinture poésie ce matin, inspiré par une exposition au Petit Palais

Après deux expositions consacrées à Carl Larsson (2014) puis à Anders Zorn (2017 , le Petit Palais rend hommage à Bruno Liljefors et annonce le dernier acte de sa programmation autour de l’illustre trio suédois « ABC », dont le nom est tiré de l’association des premières lettres de chacun de leur prénom.

Moins connu que ses deux acolytes, Bruno Liljefors demeure une figure incontournable de la scène artistique scandinave de la fin du XIXe siècle. En le présentant pour la première fois au public français, le Petit Palais souhaite révéler la virtuosité picturale et l’apport original de Liljefors dans la construction de l’imaginaire de la nature suédoise.


Cette exposition inédite présentera un ensemble de 100 oeuvres (peintures, dessins et photographies) dont les sujets sont exclusivement dédiés à la nature suédoise et aux animaux qui la peuplent. Observateur d’une grande finesse, passionné par le monde vivant dans toute sa diversité, Liljefors saisit sur le vif des balbuzards pêcheurs aux sommets de pins maritimes, des eiders évoluant sur les eaux froides des archipels, des tétras paradant dans les forêts. Son style se caractérise par un traitement virtuose de la lumière et de l’atmosphère. Ses recherches esthétiques sont largement influencées par le japonisme et l’art extrême-oriental... À l’heure où la sauvegarde de la biodiversité est devenue un enjeu majeur, Liljefors, au-delà de son rôle de chantre de la nature suédoise, nous invite à prendre conscience de l’ensemble du monde vivant dont nous faisons partie.

source : Petit Palais

Bruno Liljefors
Bruno Liljefors
Bruno Liljefors
Bruno Liljefors

Bruno Liljefors

‘A Bird, Came Down the Walk’ by Emily Dickinson

 

A Bird, came down the Walk –
He did not know I saw –
He bit an Angle Worm in halves
And ate the fellow, raw,

And then, he drank a Dew
From a convenient Grass –
And then hopped sidewise to the Wall
To let a Beetle pass –

He glanced with rapid eyes,
That hurried all abroad –
They looked like frightened Beads, I thought,
He stirred his Velvet Head. –

Like one in danger, Cautious,
I offered him a Crumb,
And he unrolled his feathers,
And rowed him softer Home –

Than Oars divide the Ocean,
Too silver for a seam,
Or Butterflies, off Banks of Noon,
Leap, plashless as they swim

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