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Ephéméride éclectique d'une librocubiculariste glossophile et mélomane.

La Gacilly 2022

On ne présente plus l'exposition photographique organisée à la Gacilly, chaque été. Je vous en parle régulièrement sur ce blog, ici ou là....depuis des années.

Un petit tour, cette semaine, sous une météo automnale m'a permis de découvrir deux belles galeries :

D'abord, le travail de Stephan Gladieu

galerie de portraits en pied réalisée en 2020 au Congo Kinshasa par Stephan Gladieu
galerie de portraits en pied réalisée en 2020 au Congo Kinshasa par Stephan Gladieu
galerie de portraits en pied réalisée en 2020 au Congo Kinshasa par Stephan Gladieu
galerie de portraits en pied réalisée en 2020 au Congo Kinshasa par Stephan Gladieu
galerie de portraits en pied réalisée en 2020 au Congo Kinshasa par Stephan Gladieu
galerie de portraits en pied réalisée en 2020 au Congo Kinshasa par Stephan Gladieu
galerie de portraits en pied réalisée en 2020 au Congo Kinshasa par Stephan Gladieu

galerie de portraits en pied réalisée en 2020 au Congo Kinshasa par Stephan Gladieu

Une performance des artistes de "Ndaku ya, la vie est belle" en vidéo, trouvée sur le net...

Recouverts d’un masque intégral confectionné à partir de détritus, une génération d’artistes se lève et fédère dans un collectif qui a soif de revendication une nécessité primaire et viscérale de créer et dénoncer. Si le Congo a en partie perdu ses traditions animistes et mystiques, dissoutes sous la pression du catholicisme des anciens colons belges, ces jeunes artistes retournent à la source traditionnelle du masque africain. Un masque habité, porteur d’esprit, symbole d’un trop-plein.

Ce collectif c’est « Ndaku ya, la vie est belle » ; fondé il y a six ans par le plasticien Eddy Ekete. Il regroupe aujourd’hui près de 25 artistes presque tous formés à l’académie des Beaux-Arts de Kinshasa.

« Le collectif m’a accueilli pendant deux semaines pour réaliser ce projet artistique qui s’inscrit dans la continuité de mon travail. Je suis resté fidèle à mes partis pris photographiques en choisissant de réaliser les portraits dans les rues de Kinshasa, le décor et le personnage se répondant.

La rue est l’histoire commune de ces artistes. Leur collectif organise des performances de rue pour provoquer une prise de conscience des autorités et des habitants. Il était donc légitime de les replacer dans la réalité des ghettos de Kinshasa. »

Source : Schoolgallery

 

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Puis celui de Gabriele Cecconi sur le drame des Rohingyas

Depuis août 2017, près d’un million de Rohingyas, minorité ethnique persécutée en Birmanie, ont fui vers le Bangladesh. Pour installer les camps de réfugiés dans ce pays déjà paupérisé, il a fallu déforester massivement, ponctionner les ressources naturelles, construire des latrines à même la boue. Résultat ? Des bactéries à foison, d’imprévisibles glissements de terrain favorisés par l’érosion des sols et, en définitive, des frictions entre les exilés et ceux qui vivotaient là avant eux. La conjonction d'une crise humanitaire et écologique.

Gabriele Cecconi - La terre des misérables
Gabriele Cecconi - La terre des misérables

Gabriele Cecconi - La terre des misérables

Mon impression à l'issue de l'exposition 2022 ?

Mitigée, cette année. Je n'ai pas eu autant de coups de cœur,  que les années passées...

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