Ephéméride éclectique d'une librocubiculariste glossophile et mélomane.
2 Mars 2013
Une belle et longue soirée (5h40 !), hier, en compagnie de la Maman de Perceval pour découvrir le "festival scénique sacré", tel que Wagner définissait cette dernière oeuvre. Mais à part un léger assoupissement au dernier acte, nous n'avons pas vu le temps passer tellement la mélodie nous a transportées.
Jonas Kaufmann a interprèté brillamment Parsifal, le héros innocent qui découvre la sagesse et Peter Mattei qui débutait dans le rôle d'Amfortas a été longuement applaudi.
Le deuxième acte présentant l'affrontement de Parsifal et des filles fleurs dans une mare de sang était particulièrement remarquable et le metteur en scène à l'entracte nous a rassurées sur les conditions de travail des chanteurs en expliquant que le mélange simulant le sang était maintenu à la température de 37° pour que ce soit plus facile à supporter.
Autre anecdote révélée lors de l'interview de Daniele Gatti : le Chef a avoué diriger l'oeuvre de mémoire, même s'il ne veut pas que l'on en fasse état !
Ci-après quelques extraits vidéo :
/image%2F0754438%2F20240906%2Fob_66d262_vie-de-setter.jpg)
Ephéméride éclectique d'une librocubiculariste glossophile et mélomane
