Ephéméride éclectique d'une librocubiculariste glossophile et mélomane.
30 Septembre 2018
J'ai pris tellement de retard à rédiger mes posts qu'il devient plus difficile de tirer le bilan d'un mois particulier. Août se mélange avec juillet et juin. Trois mois d'été radieux. Des températures si agréables.
Après l'épisode douloureux du printemps 2016, il aura fallu cette longue période heureuse pour chasser enfin les mauvais souvenirs peuplant ses murs et retrouver tout l'agrément qu'offre la maison familiale conçue par les parents.
La meilleure idée a sans doute été de ré-installer une table dans la véranda pour en profiter au maximum. J'y ai re-créé un petit cocon douillet que Papa a apprécié lors de ses nombreuses après-midi passées à contempler son jardin. Comment se lasser des moments passés dans un tel cadre ?
Nous y étions aux premières loges pour regarder le ballet des mongolfières passant au dessus de la maison, ou bien la baignade des passereaux dans les gamelles d'eau installées sur la pelouse pour la miss.
Les roses n'ont jamais été plus belles que cette année. Nous en avons profité au jardin, ou en préparant des bouquets à emporter à l'Ehpad ensuite.
J'ai passé mes matinées "libres" à parcourir les sentiers côtiers que les parents me faisaient découvrir lors de mes visites mensuelles...tandis que les aprés-midi étaient consacrées à la baignade !.
Et en marge des expositions du mois d'aôut, j'ai découvert ce très beau vitrail moderne dans la collégiale de Lamballe : progression labyrinthique de Christine Cocar, vitrail créé en 1984.
N'invite-t-il pas au lâcher-prise, à la rêverie ? Qu'en pensez-vous ? C'est ce que nous avons fait, me semble-t-il tout l'été !
Ephéméride éclectique d'une librocubiculariste glossophile et mélomane