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Ephéméride éclectique d'une librocubiculariste glossophile et mélomane.

Que restera-t-il de février ?

Gary Bunt - a windy day

Gary Bunt - a windy day

Que retenir de février : Une belle escapade hors de Bretagne, où nous avons apprécié ciel bleu et soleil hivernal...qui nous a permis d'oublier un peu la pluie et le vent finistériens...

Que restera-t-il de février ?
Que restera-t-il de février ?
Que restera-t-il de février ?
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Que restera-t-il de février ?
Que restera-t-il de février ?
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Que restera-t-il de février ?
Que restera-t-il de février ?
Que restera-t-il de février ?
Que restera-t-il de février ?
Que restera-t-il de février ?

Février : de belles lectures avec "Bellissima" de Simonetta Griegio :

Une découverte avec cette auteure, qui mêle récit personnel et histoire italienne, son pays de naissance.

Il y a des années maintenant, Simonetta Greggio, alors jeune femme, a quitté son Italie natale pour s’installer en France, un aller sans retour, un voyage comme une fuite en avant pour sauver sa peau et son esprit, laissant derrière d’elle des petits frères dont elle regrettera chaque jour la distance. Des dizaines d’années plus tard, la gamine devenue autrice accomplie se tourne vers les démons de sa jeunesse, inévitablement liés à ceux qui ont gangrénés son pays.

Sources : Toute la culture. La suite de la critique est à lire ici

Et  là, à écouter sur  France Culture l'émission qui lui est consacrée à l'occasion de la sortie de ce dernier roman.

Que restera-t-il de février ?

Février : Lecture encore avec le premier tome de l'épopée romanesque de Pierre Lemaître : Le grand Monde. Difficile de résister à l'appel de la tablette quand s'installent les heures blanches de mes nuits....Hâte de lire la suite...

Ci-après la trame de l'histoire résumée par Télérama :

Abondamment nourri aux romans du XIXe siècle, Pierre Lemaitre prend un plaisir gourmand à imaginer une nouvelle saga, solidement ancrée dans la tradition du feuilleton. Après la trilogie des Enfants du désastre (Au revoir là-haut, prix Goncourt en 2013, Couleurs de l’incendie, Miroir de nos peines), qui s’achevait en 1940, l’auteur accompagne une autre famille, les Pelletier, à partir de 1948, entre Beyrouth, Paris et Saigon. Au Liban, Louis et Angèle, les parents, tiennent avec calme et dextérité la fabrique des Savons du Levant. Derrière eux se tiennent comme ils peuvent leurs quatre enfants, trois fils et une fille, qui n’ont pas forcément l’ambition de reprendre l’affaire paternelle.

Que restera-t-il de février ?

Je vous en avais parlé ici : le formidable feuilleton radiophonique "57 rue de Varenne"...En fait nous avons la chance de pouvoir écouter une dernière-dernière saison : la 6. En politique, on n'est jamais tout à fait mort...

Feuilleton beaucoup plus distrayant que l'affligeante campagne électorale en cours. A savourer....

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